Adam J. Collins

Rapidement l'on m'a considéré comme le gentil garçon de la famille. Sous les ordres en permanence, j'exécutais mais avec le conscience de savoir que ce que l'on faisait n'était pas bien. Je refusais de toucher aux femmes et je m’époumonais à défendre la veuve et l'orphelin. Comme si Dieu m'avait donné la mission de les aider. Je me sentais de plus en plus fort à mesure qu'une vie était épargnée, alors rapidement je me suis engagé auprès de mon père. En tant que flic d'abord, puis en tant que bras droit de son cartel ensuite. J'ai rapidement su trouver ma place. J'ai épousé une mexicaine comme le veut la tradition, Elena, et nous avons deux enfants. Je la trompe parfois bien sur, mais je suppose que là encore ça fait partie de l'héritage de ma famille. Mon père est décédé récemment. Je n'ai finalement pas été son successeur. Je crois que je serais éternellement le bras droit mais ça me rassure en quelque sorte, car même si j'aide Lena dans cette entreprise, je sais que ma vie en tant que flic me permet également de m'évader lorsque j'en ressens l'envie. En fait, je suis un Caméléon.

Samuel J. Collins

Je suis entré dans les Marins à l'age de 18 ans. Première fois que j'ai vu mon père fière de moi. Peut-être pensait-il que je serais celui qui serait capable de rallier la famille à l'armée, je ne sais pas ... J'ai rapidement eu des difficultés à m'intégrer. Trop brut, trop impulsif, trop sanguin, je ne faisais que m'attirer des ennuis. Tantôt avec mes camarades, tantôt avec mes supérieurs, j'ai tout de même tenu quatre ans avant d'être répudié pour avoir désobéi ... Lorsque je suis revenu, j'étais la honte de la famille, le pestiféré, celui que l'on doit oublier ... Heureusement dans la famille, personne ne l'est réellement. On m'a trouvé une utilité. J'étais con c'est vrai, mais doué pour tuer. J'ai tiré un trait sur la possibilité d'être l'héritier et me suis focalisé sur ce que je savais faire de mieux : poser mon cerveau et tirer sur ordre. Je suis devenu LA MAIN de la famille. Côté coeur, je ne me suis jamais contenté d'un camp ou d'un autre. Bien que dominant, il m'est arrivé d'avoir des relations homosexuelles. En revanche, je suis incapable de l'avouer pour le moment. Peut-être un jour qui sait ? 

Emilio E. Gaviria

Comme mon père avant sa mort, je suis donc le dirigeant direct de Medellin, en Colombie. Pour éviter toute atteinte directe, j'ai décidé de me réfugier à Cleyn. Une ville dont le taux de mortalité et l'un des plus important, ce qui me permet de me fondre dans la masse des innombrables hordes de mafieux lambda de la ville. Mon cartel fourni environ 20 % de la cocaïne consommée aux États-Unis, pour un chiffre d'affaires annuel de 31,9 milliards de dollars. Souvent appelé « le roi de la cocaïne », je suis le criminel le plus riche de l'Histoire après mon père, avec une fortune nette connue de 74 milliards de dollars en 2018. Cette fortune, je tente néanmoins d'en faire bonne usage en aidant la population colombienne. La création de nombreux hôpitaux et écoles font de moi un héros dans mon pays. Je suis intouchable et ai obtenu une immunité diplomatique en 2018. Coté caractère, je suis du genre impatient, acharné et sans cœur. Je n'hésite pas à assassiner ou faire assassiner quiconque me barre la route. " Pas de pitié, pas de quartier " c'est ma devise.  Un traître reste un traître, et le pardon n'existe pas.